Les infos à la source

Candidature du parjure: Grande mobilisation du “Non” face aux cris organisés du “Oui”

Il n’existe pas de « super Guinéens » détenteurs d’un droit exclusif à l’occupation des rues. Dès lors que le régime autorise , voire encourage, ses partisans à clamer le “OUI” au parjure jusqu’à barricader les routes et transformer l’espace public en scène de propagande, il devient légitime, naturel et juridiquement fondé que les citoyens du “NON” prennent la parole et occupent le même espace.

Il ne peut y avoir ni privilège de soutien, ni monopole de l’adhésion.

Puisque le putschiste prétend soumettre sa candidature illégale à la “volonté du peuple”, alors le peuple doit être libre de répondre.
Puisqu’il choisit la rue comme tribunal politique, alors la rue doit être ouverte à toutes les voix — pas uniquement à celles téléguidées par les caisses noires du régime.

- Advertisement -

- Advertisement -

Nous refusons le deux poids deux mesures.
Nous refusons la confiscation de l’espace public au profit d’un coup d’État électoral.
Nous affirmons que le “NON” ne sera pas étouffé par la scénographie artificielle du “OUI”.

S’il veut imposer sa candidature par la clameur, alors il doit accepter la riposte du peuple par la clarté du refus.

La mobilisation est un droit. La résistance est un devoir.

Par le chasseur de Vérité 

A lire aussi