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Candidature du parjure et du mépris = À LA GUERRE !

Mamadi Doumbouya a du sang sur les mains. Des centaines de Guinéens ont été tués, brûlés, effacés du souvenir officiel, pendant que leurs familles n’ont même pas fini de pleurer leurs morts.

Comment peut-on prétendre bâtir un pouvoir sur les cendres de ses victimes ? Comment espérer la paix quand le trône repose sur la douleur, le mensonge et le mépris du peuple ?

On ne gouverne pas un pays avec des armes pointées sur les consciences. On ne fonde pas la stabilité sur l’injustice. Et surtout, on ne ressuscite pas l’honneur national en foulant la dignité humaine.

Ce général 3D acteur du Détournement, de la Dupe et de la Destruction prétend aujourd’hui gouverner un pays qu’il a plongé dans le deuil.
Mais avant de rêver de présidence, Mamadi Doumbouya doit rendre des comptes :
des comptes sur les morts, sur les disparus, sur les kidnappings, sur les corps calcinés de nos frères, de nos enfants, de nos voisins.

Car nul ne peut prétendre diriger la Guinée en traînant dans son ombre les fantômes de ceux qu’il a fait tuer.

La Constitution elle-même est claire :
selon l’article 42, toute personne aspirant à diriger l’État doit justifier d’une intégrité morale irréprochable.

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Or, un criminel en flagrant délit, qu’il soit jugé ou non, ne peut être ni candidat, ni garant de la justice qu’il a lui-même piétinée.

On ne bâtit pas une République sur la peur.
On ne gouverne pas un peuple qu’on a blessé sans vérité ni justice. Et la Guinée, debout dans sa douleur, ne redeviendra jamais le royaume des bourreaux.

Les mots « le crime, la Constitution, le peuple debout » ne sont plus de vains slogans.
Ils incarnent la détermination des invisibles qui ont forgé la dignité de la nation les résistants, les citoyens, la société civile.

L’armée fidèle aux valeurs fondatrices, la société civile engagée, et tout patriote digne ne toléreront jamais la parjure. Doumbouya devra marcher sur plusieurs vérités, sur plusieurs consciences, avant d’espérer imposer sa tyrannie.

La Guinée de 1958, celle des résistants de la colonisation, ne se couchera pas. Un pays qui a montré au monde le chemin de la liberté ne succombera jamais dans le carcan de la soumission.

Par le chasseur de vérité 

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