Audit CNDD contre Cellou : Sékouba Konaté, le tigre de papier toilette dans le marasme du mensonge !
Chronique du baroudeur républicain
Tu mens, Konaté.
Cellou n’a jamais reconnu Air Guinée Gate.
C’est toi, général de pacotille, qui as encaissé les millions pour “l’inculper”. Et quand le capitaine Dadis s’y est opposé, ta haine a germé. Voilà la vérité. Voilà la racine de ton aigreur.
Tu n’avais ni la légitimité ni la force pour empêcher Dadis de prendre le pouvoir. Le pays entier le sait : militairement, Dadis commandait les unités les plus aguerries le Bataillon Autonome des Troupes Aéroportées, les commandos de Claude Pivi, les hommes du terrain, pas les fumeurs de primes ni les généraux de bureau.
Devant Pivi et ses hommes, tu n’étais qu’un figurant de parade, un soldat administratif qui observait la guerre depuis un fauteuil.
Tu as préféré te cacher derrière ton aigreur et ton commerce de haine. Tu étais le parrain des narco-généraux du régime Conté, protecteur des trafics et des deals obscurs.
Tu as pris de l’argent pour salir Cellou, croyant te tailler un trône dans la confusion. Mais Dadis a refusé ta méchanceté, et c’est ce refus qui t’a rendu fou.
La vengeance des lâches
Le 28 septembre n’était pas une bavure : c’était ton opération. Une vengeance orchestrée, une trahison déguisée en débordement.
Tu as voulu détruire Dadis, puis tu as tenté de l’assassiner par le biais de ton complice Toumba.
Ton crime, c’est d’avoir sacrifié la République pour régler un différend d’égo.
Aujourd’hui encore, tu manipules les naïfs et te drapes dans la cape du sauveur.
Mais l’histoire t’a déjà jugé.
Les soldats forestiers, les vrais, doivent ouvrir l’esprit : ton cartel ethno-militaire a juré de décimer la grandeur de la Forêt et d’éteindre son honneur.
Tu es la mauvaise graine du CNDD, le ferment de la division, le faux frère du capitaine Dadis.

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Ton alliance avec le dictateur Doumbouya scelle le pacte de la trahison : l’un a vendu la transition de 2010, l’autre vend la souveraineté de 2025.
Et l’histoire retiendra ceci : La Guinée ne s’élèvera jamais tant qu’elle n’aura pas nommé ses faux héros et jugé ses vrais traîtres.
Macenta, le champ de ta lâcheté
Tu mens, encore.
Tu n’as jamais servi la République. À Macenta, tu avais échoué lamentablement.
Quand les rebelles ont frappé, tes hommes, au lieu de défendre la patrie, se sont retranchés au camp comme des lièvres apeurés.
Et ce sont les civils, oui, les femmes de Macenta, qui ont pris le relais, exécutant les rebelles à la machette pendant que toi, “le général”, observais depuis ton bunker.
Ta seule gloire, c’est d’avoir vécu sous la largesse du président Lansana Conté, en consommant les honneurs que tu n’as jamais mérités.
Sur le front, tu n’étais pas un lion, tu étais un tigre en papier toilette : tu grondais fort, mais tu fondais à la première balle.
Les vrais soldats de ce pays s’appellent Claude Pivi, Moussa Dadis, et tant d’autres qui ont connu la boue, la peur, et la loyauté.
Toi, ton courage s’arrêtait là où commençait la compétence des autres.
Le verdict de l’Histoire
Et pourtant, te voilà, vieux charognard, drapé dans l’uniforme de la vertu.
Mais l’Histoire ne blanchit pas les lâches :
elle les archive.
Nous demandons, au nom de la vérité et de la mémoire du CNDD, la reprise du procès du 28 septembre devant la Cour Pénale Internationale.
Parce que des coupables comme toi ne peuvent continuer à parader pendant que les innocents croupissent en prison.
Le peuple n’oublie pas. Il attend le jour où la justice parlera enfin la langue du courage pas celle de la compromission.
Par Siba Béavogui