Mamadi Doumbouya parade à la Minière dans l’argent du sang des innocents
Qu’y avait-il vraiment derrière la promenade de Mamadi Doumbouya dans le quartier huppé de la Minière ?
À quelques pas de la résidence du président Sidya, entre le gratte-ciel jouxtant la maison des héritiers du camarade Saïfoulaye et celle d’un frère du défunt président Sékou Touré, s’érigent aujourd’hui les châteaux clinquants du général autoproclamé Mamadi Doumbouya. Une architecture insolente qui scintille comme un trophée, où le chef putschiste serait venu savourer sa réussite sanglante.

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Les anciens gestionnaires libanais de ces immeubles, propriétaires des gratte-ciels, hurlent au martyr : leurs biens leur ont été arrachés par « le jombri de Kankan », alias O+, dans une opération aux airs de pillage officiel.
La Guinée est devenue une jungle où la loi du plus fort écrase toute morale. Si un simple « gardien du temple » comme Amara peut encaisser huit millions de dollars, que dire alors du « patron du temple » ? Ici, le luxe obscène des uns est bâti sur le sang et la sueur des innocents, et chaque pierre posée raconte une histoire de trahison nationale.
Le chasseur de Vérité