Alerte rouge – Vigilance Absolue Foniké Manguè et Billo Bah en Sierra Léone ?

Une intox du CNRD pour étouffer la mobilisation citoyenne ! 

Ceux qui propagent, sans preuve, la rumeur d’un exil ou d’une extraction en Sierra Léone, sont complices de l’ennemi.

À chaque fois que la vérité commence à émerger sur l’assassinat de nos compatriotes, les criminels du CNRD déploient une stratégie bien rodée : manipuler l’opinion à coups de fausses pistes et d’informations montées de toutes pièces.

Ils activent leurs relais habituels – blogueurs, influenceurs, “proches” du FNDC ou activistes infiltrés – pour propager un narratif d’espoir sans aucune preuve concrète. Objectif : gagner du temps, diviser les rangs, affaiblir la colère populaire.

Ce schéma ne date pas d’hier. Il resurgit à chaque moment critique :
– Après les témoignages accablants de journalistes internationaux,
– Après nos alertes répétées,
– Après le cri de détresse des veuves et familles des victimes,
– Après la pression de la communauté internationale…

Face à cela, la machine à mensonge du CNRD se remet en route. Une nouvelle fois. Avec la complicité de traîtres tapis dans nos cercles.
Où sont-ils ? Qu’on nous montre des preuves !

À ce jour, aucune preuve de vie, aucune vidéo datée, aucun lieu de détention formel.

Le parquet s’est désengagé officiellement, niant toute implication de l’État. Que faut-il de plus pour comprendre ?

À moins qu’ils ne soient libérés publiquement et immédiatement, tout porte à croire qu’ils ont été exécutés.
À TOUS LES PROCHES QUI RELAYENT CES MENSONGES

Ils ne le font pas par naïveté. Ils ont peur : peur que le peuple se réveille, qu’il demande des comptes, qu’il se soulève.

Ils savent qu’une seule vérité peut tout faire basculer :
Si le peuple apprend que Foniké et Billo ont été tués par Doumbouya, ce jour-là, la révolution sera inarrêtable.

Restons vigilants. Unis. Déterminés.

Chaque rumeur savamment distillée vise une seule chose : étouffer la révolution silencieuse qui mûrit dans les cœurs.

Ne cédons pas à l’illusion. Exigeons la vérité. Préparons la suite.

Par Siba Béavogui