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Une cage, un président : Doumbouya veut jouer au roi de la jungle ? Qu’il entre dans l’arène !

Il quémande le soutien d’Alpha Condé, supplie le silence de Cellou, mais esquive toujours le vrai duel. Alors voilà : Verny Pivi l’attend. Pas derrière un micro, pas dans un palais, mais dans la cage. Celle des hommes, des vrais. 60 jours. C’est l’offre. Après, même le silence ne voudra plus de lui.

Au lieu de terroriser les civils, viens affronter un vrai soldat : Verny, le fils du feu et de l’honneur.
Tu fais le dur, tu bombes le torse, tu joues au gladiateur devant les caméras… Mais dès qu’il s’agit d’affronter la mort, tu trembles comme un enfant sans lampe dans la nuit.

Ce n’est pas nouveau.
Le 5 septembre 2021, tu n’as pas vaincu la mort — tu l’as contournée.
Pendant que d’autres faisaient face, toi, tu t’es glissé dans l’ombre, esquivant le feu, l’honneur, et le vrai combat.

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Alors assez de cinéma. Laisse les civils tranquilles. Laisse les femmes en paix. Et viens goûter à la vérité du feu, les yeux dans les yeux avec Verny.
S’il te reste un brin de courage, on t’attend.

Il prétend gouverner par la force ? Qu’il le prouve ! Le chef des commandos invisibles, tombeur des imposteurs, est prêt. Et s’il tremble à l’idée d’y aller seul, qu’il amène sa bande : Amara, Balla, Idi Amin et tous les figurants du chaos.

Le trône de la force ne s’hérite pas. Il se prend.
Alors, président, entre ou tais-toi à jamais.

Par le Chasseur de vérité, Siba Beavogui 

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