Il arrive un moment où le silence devient une complicité. Aujourd’hui, le Chasseur de vérité sort de l’ombre, car le mensonge a trop pris la lumière.
Aboubacar Makhissa Camara, ancien chantre du 3e mandat d’Alpha Condé, directeur des impôts d’un régime corrompu jusqu’à l’os, Réincarné, sans honte, en apôtre de Mamadi Doumbouya, ce bourreau du peuple dont les bottes écrasent la démocratie.
De “Walou kha kha wali ra gnon” (Laissez-le finir son travail)… à “Wamaly alha laguinè maly” (Aidons-le à aider la Guinée)…
L’homme recycle les slogans comme on recycle les ordures politiques.
Mais qui est-il vraiment ?
Un calculateur sans mémoire,
Un caméléon sans couleur propre,
Un déserteur de conviction,
Un vagabond de la loyauté,
Un prostitué politique qui s’achète et se vend selon la direction du pouvoir.
Il a trahi Alpha après l’avoir glorifié.
Il adoube Doumbouya en sachant pertinemment qu’il foule aux pieds les principes républicains.
Il parle de Guinée, mais ne pense qu’à son ventre.
Il invoque le patriotisme, mais ne vit que d’opportunisme.
Où était Makhissa quand les jeunes tombaient sous les balles ?

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Où était-il quand les prisonniers politiques remplissaient les geôles de la junte ?
Où était-il quand la Constitution fut piétinée, quand la terre tremblait sous les bottes du CNRD ?
Il était là. Dans les salons du pouvoir.
À tisser les fils de sa prochaine trahison.
À fabriquer le prochain slogan d’une imposture déguisée en mission divine.
La Guinée n’a pas besoin de courtisans.
Elle a besoin de courage.
Elle a besoin d’hommes debout, pas de reptiles rampants sous les pieds du prince.
Message au peuple : Si vous suivez Makhissa, préparez vos chaînes. Car demain, il changera encore de camp, et vendra votre douleur à prix d’or au prochain tyran.
Le chasseur de vérité s’élève aujourd’hui
contre l’amnésie collective.
Contre la banalisation de la trahison.
Contre le viol de l’éthique par des hommes sans colonne vertébrale.
Makhissa n’est pas un acteur politique.
C’est un symbole : celui du déshonneur.
Et le peuple ne doit pas l’oublier.
Par le Chasseur de Vérité