L’ombre des commandos invisibles tourmente la tranquillité du putschiste Mamadi Doumbouya
Malgré son imposante armada militaire et un arsenal de guerre digne des pires dictatures, le mercenaire de la Légion étrangère, Mamadi Doumbouya, redoute plus que jamais l’ultime rendez-vous avec la mort.
Le samedi 4 novembre, l’opération éclair menée à la prison centrale de Conakry a marqué un tournant : neuf morts et un régime qui vacille dans la panique. Ces hommes de l’ombre, ces commandos invisibles, n’ont rien à envier aux forces spéciales. Formés au combat rapproché, mobiles et redoutables, ils avancent avec une seule mission : neutraliser le criminel analphabète qui s’accroche au pouvoir dans le sang et la peur.
La psychose règne désormais au sommet de l’État putschiste. Doumbouya ne dort plus au palais, fuyant l’ombre de son destin. Il vit terré, comme un rat, dans un trou noir sans fin, dissimulé derrière les foules qu’il utilise comme boucliers humains lors des événements officiels.
Verni Pivi, chef aguerri de ce commando fantôme, connaît parfaitement les rouages du pouvoir. Il sait frapper là où ça fait mal, avec discipline et précision. Le rapport de force a changé : le pouvoir n’est plus une forteresse, mais une prison de verre où la peur est devenue la seule compagne du chef putschiste.
Avoir le pouvoir, mais ne plus pouvoir en jouir… C’est là le châtiment réservé aux tyrans. Doumbouya le sent : le souffle de la liberté, porté par ceux qui refusent de plier, est en marche.
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Message à la population civile : éloignez-vous du cortège du putschiste Mamadi Doumbouya
À tous les citoyens conscients,
Le moment est grave. La tête de Mamadi Doumbouya est mise à prix. Il est désormais une cible vivante, traquée par des commandos déterminés à restaurer la dignité de notre nation.
Nous lançons un appel solennel : éloignez-vous de ses déplacements, de ses cortèges, de ses apparitions publiques. Ne vous laissez pas utiliser comme bouclier humain par un homme en fuite, un criminel acculé qui sacrifie les innocents pour préserver son pouvoir illégitime.
Ceux qui veulent la justice ne s’attaquent pas aux civils. Leur objectif est clair : en finir avec un régime de terreur. Mais la prudence est de mise. Ne soyez pas au mauvais endroit au mauvais moment.
Le temps de la peur est révolu.
Le compte à rebours a commencé.
Le contenu de cet article n’engage point la rédaction de Guineefutur.info.
Siba Beavogui