Milliardaire autoproclamé, il s’abreuve du dilatoire, invoque le « droit de réponse » comme un instrument pour broyer une enquête honnête. Associé aux militaires putschistes, il participe à des manœuvres destinées à compromettre l’honneur et la sécurité des journalistes.
Dans l’idéal, la richesse impose des responsabilités : valeurs humaines, intégrité, honneur. Chez cet ex-épicier devenu millionnaire par la corruption et les réseaux clandestins, la fortune n’est qu’un paravent. Il instrumentalise la procédure et transforme ses séances de « droit de réponse » en opérations de discrédit visant à noircir le travail d’investigation.

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Mais il s’est heurté au mauvais adversaire. Nous ne céderons ni au chantage, ni aux intimidations. Son dilatoire, destiné à étouffer la vérité, sera dénoncé et documenté. La mission du journaliste continue : vérifier, prouver, publier.
Chaque baliverne pondues par ses émissaires corrompus se transformera en charge atomique contre sa crédibilité. Nous ne répondons pas aux punaises des caniveaux. Notre adversaire, c’est Fadi : il s’enlise dans une bataille de dilatoire pour décrédibiliser un travail sérieux et responsable. Nous avons suspendu nos publications pour laisser jouer le droit de réponse. Dès lors qu’il est établi que Fadi use du dilatoire pour noyer la vérité, il est de notre devoir de poursuivre l’enquête et de publier le livre sans délai.
Par Béa Siba pour guineefutur