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Simandou 2040 – Wall Street accorde le B+, Washington gifle l’offre belliqueuse !

Ce n’est pas qu’une notation budgétaire, c’est une gifle diplomatique.

Washington dit aux investisseurs “Attention, vos dollars peuvent disparaître dans les sables mouvants du putschisme.”
Et dit aux putschistes “Vous dansez trop fort, vos tambours résonnent jusque dans nos oreilles.”

Chaque matin en Guinée, un nouveau dossier tombe du ciel comme une noix sèche. Hier encore, le ministre putschiste célébré danseur du dombolon et champion de l’endettement se pavanaît devant les caméras, brandissant comme un gri-gri la note B+ offerte par les agences de Wall Street. Un trophée creux, mais qu’il portait à bout de bras comme si le peuple allait danser à son rythme.

Mais la gifle est tombée de Washington. Le Département d’État américain a publié son rapport 2025 la Guinée classée parmi les 69 pays les plus opaques, ne respectant pas les normes minimales de transparence budgétaire. En clair : “vous pouvez tromper les chiffres, mais pas l’œil de l’aigle américain.”

Le ministre du putsch croit que la dette est une danse : on bouge les hanches, on fait claquer les tambours, et Wall Street applaudit. Mais les tambours sonnent creux quand les caisses de l’État ressemblent à une jarre percée.

« Celui qui danse avec la dette finit toujours pieds nus dans la boue. »

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Wall Street applaudit l’illusion : une note B+, histoire de dire que la Guinée peut encore emprunter. Washington, lui, arrache le masque : “opacité, faiblesse, risque systémique.”
Entre la façade et les coulisses, le peuple comprend la vérité : on a vendu la maison des enfants avant même d’avoir posé les fondations.

La montagne de fer devient une montagne d’opacité. Comment bâtir un projet “Simandou 2040” quand le pays est déjà classé parmi les plus opaques du monde ?

« Le piment qui brûle la bouche ne prévient pas la langue. »

Les mêmes qui célèbrent le B+ aujourd’hui risquent d’avaler demain l’amertume des sanctions et du retrait des investisseurs.

La Guinée voulait un diplôme de solvabilité. Elle reçoit une convocation pour déficit de transparence. Le ministre putschiste continue sa danse du dombolon, mais la musique a changé : ce ne sont plus les tambours, mais les claques de Washington qui résonnent.

Par le chasseur de vérité 

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