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AGB2A : L’entreprise qui appauvrit ses travailleurs pour engraisser juges, journalistes et maîtresses de luxe

Dans le silence assourdissant des galeries minières, des hommes s’épuisent chaque jour à extraire des richesses qui ne leur profitent pas. Travailler dans les mines, c’est risquer son corps, sa santé, sa vie. Pourtant, chez AGB2A, ces sacrifices ne sont récompensés ni par une assurance maladie décente, ni par des salaires dignes. Les ouvriers survivent, pendant que d’autres festoient sur leurs dos.

Le comble de l’indécence a un nom : Ahmed Kanté. Administrateur général de l’entreprise, il s’est transformé en grand dispensateur d’argent public pour des causes aussi stériles qu’arrogantes. Plutôt que d’améliorer les conditions de vie des travailleurs, il préfère investir dans la propagande, les palais de justice et des plumes corrompues qui chantent les louanges d’un mirage industriel.

Mais ce n’est pas tout. Selon des sources internes, M. Kanté aurait quitté le lit conjugal pour se mettre aux pieds d’une “ tchadienne”, surnommée par les travailleurs “la croqueuse de diamants”. Une femme dont l’influence malsaine sur les finances de l’entreprise s’apparente à une prise d’otage. L’économie d’AGB2A est désormais entre ses mains, et elle siphonne à volonté.

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Pendant ce temps, les sociétés écrans montées par Kanté tournent à plein régime. Les virements s’enchaînent, les fausses factures s’accumulent, et les comptes de l’entreprise saignent. C’est un système d’auto-pillage, une mafia interne qui prospère dans l’impunité la plus totale, pendant que les ouvriers tirent le diable par la queue.

Quand l’immoralité devient gouvernance, quand l’arrogance remplace la justice sociale, c’est le début d’un effondrement. Et le réveil sera brutal : des centaines de familles sur le carreau, une entreprise ruinée, un secteur minier discrédité.

L’histoire retiendra que le vol ne venait pas de l’extérieur, mais de l’intérieur, sous les traits d’un homme censé protéger l’outil de travail national.

La  rédaction.

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