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Port Autonome de Conakry : Arrivée de nouveaux blindés militaires pour brûler la Guinée avec son propre argent!

Des images inédites révèlent le déchargement au port de Conakry de véhicules blindés 4×4 d’origine chinoise, transportés par bateau, suspendus à des grues portuaires comme des trophées de guerre.

Le modèle identifié est probablement le CS/VP3 “Bigfoot”, produit par le géant militaire chinois NORINCO un blindé conçu pour les zones de conflit… pas pour les rues d’un pays en paix.

Il s’agit d’un véhicule blindé léger 4×4, pesant 8,7 tonnes, avec une capacité de 12 passagers, un blindage résistant aux balles de 7,62 mm et aux mines, une vitesse de 100 km/h, et une autonomie de 800 km.Un engin prévu pour le transport de troupes, les patrouilles, et surtout… la répression urbaine.

UNE MACHINE DE GUERRE CONTRE UN  PEUPLE DÉSARMÉE.

Pas de guerre dans le pays. Mais des blindés qui débarquent en masse. Pas d’ennemi déclaré. Mais des armes lourdes prêtes à tirer. Aucune explication. Aucune conférence de presse. Aucun décret publié. Aucune ligne dans le budget.

Juste des engins de mort qui surgissent dans le silence. La peur est désormais équipée. Pas la Nation. Ce ne sont pas des véhicules pour défendre la Guinée.

Ce sont des machines pour écraser les Guinéens. Le modèle livré sert ailleurs à réprimer, à traquer, à mater. C’est l’arme des régimes acculés. C’est la signature d’un pouvoir en panique.

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C’est Doumbouya qui se prépare… non pas à protéger le peuple, mais à lui faire la guerre. Il a trahi sa parole. Il a violé la Constitution. Il a piétiné la confiance.

Et maintenant, il veut éteindre l’espérance sous des pneus blindés. Mais il se trompe. Les blindés ne gagnent pas un combat urbain. Les chars ne contrôlent pas une rue révoltée.

Ce n’est pas l’acier qui donne la légitimité. C’est le peuple.

QUAND UN RÉGIME ARME LA TERREUR AU LIEU DE SERVIR LA PATRIE

Il ne renforce pas la défense nationale. Il arme sa peur. Il ne sécurise pas le pays. Il protège son trône. Il vide les caisses du peuple pour pourchasser une poignée de commandos. Il croit que le bruit des moteurs va faire taire les cris. Erreur.

Qu’il achète tous les blindés de la planète. Qu’il couvre Conakry de mitrailleuses. Il finira comme tous les traîtres : Isolé. Rejeté. Jugé.

Le peuple guinéen n’a pas dit son dernier mot.

Avec Beavogui Siba

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