En lieu et place de la célébration de cette fête internationale du travail, nos autorités devraient tout simplement être en larmes et chercher à defaut d’en creer d’autres emplois, réhabiliter au moins ceux qui existaient avant leur arrivée aux commandes du pays.
Arrêtons‐ nous sur le cas des employés des medias. Combien sont‐ ils contre le gré de leurs employeurs en train de se faire ronger par le chômage du fait du calvaire dicté par ceux qui se croient immortels ? Alors que toutes ces entreprises de presse faisaient vivre tant bien que mal ces travailleurs forcés à être chômeurs grâce à la boulimie du pouvoir. Ce secteur demeure un, parmi tant d’autres.
Parlons aussi du vide laissé par le nombre de cadres envoyés à la retraite. Ce vide a t‐il été comblé par les gouvernants, au regard du chômage galopant on se dit que cette affaire de retraite même n’a éte que gâchis.
Qu’on me dise le contraire, car persomne ne sait, même les candidats pour le recrutement à la fonction publique où est passé ce projet avec ses 100.000 GNF par concourant.
Dans un pays aux ambitions nobles l’emploi est sacralisé, c’est comme une constitutiom on ne joue pas avec, comme on le fait avec sa femme et ses enfants. Le chômage est un contre pouvoir, parce qu’il est teinté de frustrations de tout citoyen capable d’aider sa nation dans un domaime qu’il maîtrise.
Ailleurs ce 1er Mai se ressentira dans les mois qui vont suivre car c’est l’occasion pour les gouvernants des pays où le travail est une religion de prendre de grandes mesures revendiquées par les syndicalistes dans l’optique de garantir et accroitre les emplois. Ici, c’est le port d’éternelles uniformes ( sobi ). Pancartes en main et défilés sans oublier de nombreux discours faux-fuyant des autoritès et des syndicalistes.
En attendant que la donne ne change dans ce pays aux ressources naturelles imposantes et l’un des plus pauvres du monde, le chômage empêche cette fête du travail à se faire une place au soleil.
Pauvres de nous !
Kalenews