Amnesty International Guinée/Campagne des 16 jours d’activisme : les VGB au centre des préoccupations
Texte : Djiwo Bah
La campagne des « 16 jours d’activisme » a été lancée ce 29 novembre 2023, à l’université Gamal Abder Nasser de Conakry. Ce, par Amnesty International en collaboration avec le ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation. Cette campagne vise à sensibiliser les jeunes dans le milieu scolaire.
Pour la vice rectrice de l’université Gamal Abder Nasser de Conakry au cours de cette année, les organisations de la société civile et les plate-formes de lutte contre les violences basées sur le genre ont fait des cas des violences domestiques récurrentes qui ont alimenté l’actualité du pays.
« Face à l’ampleur des violences faites aux femmes, il est aussi essentiel que les services destinés aux victimes soient considérés comme nécessaires et restent ouverts avec les ressources et les mesures adéquates pour soutenir les services de santé sociaux permettent de prendre en charge les victimes de la violence », souligne Pr Mariame Béavogui.
La campagne mondiale d’activisme est un moment privilégié pour tous les décideurs à travers le monde, de démontrer leurs engagements collectifs et individuels pour éradiquer toute les formes de violences basées sur le genre a indiqué la directrice générale de l’innovation du ministère de l’enseignement supérieur.
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« Ces 16 jours d’activisme sont des occasions pour mener des campagnes de sensibilisation et d’éducation pour faire face à l’ampleur du phénomène », estimé Aminata Touré représente de madame la ministre.
Le Directeur exécutif de Amnesty international Guinée a affiché sa satisfaction face à la participation massive des acteurs et étudiants.
« Nous vous disons merci à tous. Si nous avons pu tenir à organiser cette série de conférences dans une dizaine d’universités publiques et privées de la Guinée, c’est pour jouer notre partition pour la promotion et la protection des droits humains. Le sujet qui nous rassemble aujourd’hui, le harcèlement, nous en avons parlé et globalement les violences basées sur le genre », a indiqué Souleymane Sow
bahdjiwo700@gmail.com
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